Qui suis-je ?

 

Je pourrais vous raconter mon parcours et le chemin qui m’a menée à la kinésiologie… Mais soyons honnêtes, je risquerais de vous perdre avant la fin !

Alors, allons à l’essentiel :

Moi, c’est Émilie.

Spontanée, passionnée, authentique et résolument positive (avec une bonne dose d’humour en prime).

Et le contact humain ? Une évidence, depuis toujours.

17 ans en réanimation en tant qu’aide-soignante, là où la vie et la mort se frôlent.
Dans cet univers où le temps compte double, j’ai appris à être attentive à ce qui ne se dit pas, à être perceptive à ce que le corps exprime quand les mots manquent.
J’ai compris qu’un regard, un mot ou un simple geste peut alléger un fardeau, apaiser une douleur ou offrir un instant de répit.

Cette expérience, c’est plus qu’un métier : c’est une leçon de vie. Une plongée dans la complexité humaine.
Après ces années au cœur du soins, j’ai compris à quel point le lien entre le corps et les émotions sont liés, décrypter ce langage est devenu ma seconde nature.
Mais au fil du temps, une question s’est imposée à moi :

Et si on pouvait agir avant que tout ne bascule ?

Alors, j’ai troqué l’urgence pour la prévention.

De la réa à la kinésiologie

C’était comme suivre un fil rouge, celui de l’humain.
Une suite logique, quitter le bruit des machines, pour écouter ce que le corps a à dire.
Alléger les douleurs, dénouer les tensions et aider chacun à avancer plus léger afin que corps et esprit avancent dans la même direction.

Mon approche

 

Sincère et décontractée

Ici l’injonction n’a pas sa place, pas de mode d’emploi pour “réussir sa vie” !
L’idée, c’est juste d’être pleinement vous, sans masque, sans pression, avec vos hauts et vos bas, vos doutes et vos élans, vos virages serrés, vos forces, vos failles et tout ce qui vous compose.

Un lieu d’expression où chaque émotion à sa place, un sourire esquissé, un éclat de rire spontané, une larme discrète, ou juste le silence. Un peu, beaucoup, à la folie, juste ce qui vient, ou pas.

S’affranchir, presque sans s’en rendre compte.

Repartir, non pas transformé, mais réconcilié avec soi-même, avec la vie.